lundi 27 février 2012

Colca














Autre petite virée, cette fois vers le nord pour découvrir le canyon de Colca á 6 hures de bus, et lá par cette belle matinée ensoleillée, on a approché un peu plus les sommets et volcans des alentours, en traversant un altiplano habité par de vigognes et bordés de pics enneigés, puis des pampas d altitude aves troupeaux de lamas et d alpagas...plongée dans les Andes...puis le bus est redescendu pour redescendre á 3500 metres et s approcher du site. Et là j ai retrouvé un peu l ambiance rurale bolibvienne avec des gens qui montent un peu partout, des femmes chargées de baluchons colorés et coiffés de suprbes chapeaux brodés des Collaguas (un des 2 peuples á avoir investi la zone vers le XI eme siecle et qui permet deles reconnaître comme tels ...) en mettant en valeur cette depression sur les rives du Colca grâce á un réseau d irrigation tr´s élaboré, qui fonctionne encore et qui a dessiné des terrasses de cultures verdoyantes sur les versants .
Halte dans le village de Cabanaconde avec son église imposante et ses ch'akras (champs) autour, des familles qui semblent faire des offrandes,..ambiance paisible.
Je suis partie le lendemain faire une rando pour descendre dans le canyon, superbes vues plongeantes, j ai aperçu de loin un condor et j ai vu de prés un colibri...apres 2 heures de descente je me suis baignée dans une piscine d eau de source, un régal...avant de remonter , correctement pour les 2 premieres heures mais apres j ai commencé á souffrir, heureusement, gràce à mes rudiments de quechua (ou á ma mine deconfite?!), un petit monsieur, Miguel m a porté mon sac á dos et accompagné á bon port alors que des crampes dasn les cuisses commneçaiemt á m assaillir...il m a expliqué qu il cultivait du mais, des patates, des fèves...et ça pendant les 2h30 de chemin restants!je l ai remercié pour sa patience ...car j ai fait au moins 10 pauses et á chaque fois il m attendait aimablememt, en souriant. ( j avais un peu honte surtout que je trimballais cet enorme sac a dos pour rien!!!)

Arequipa pas á pas






Petit á petit on se familiarise avec la ville, on entre sous des portails qui cachent de trés beaux patios, on flâne sur les places, on scrute les sculptures des façades et leurs détails, on teste les bouis bouis de petites rues ou autres papas rellenas (patates fourrées), oeufs de caille vendus dans la rue, ou petits restos chinois tr´s nombreux aussi(même si je fais gaffe ces jours ci prise d une petite turista de retour de la mer...), on regarde passer des défilés et on écoute les camions poubelles! bah oui, une petite touche de poésie! chaque camion a ainsi son propre air de musique...on peut aussi visiter des banques aui sont toutes installées dans de superbes édifices renaissances ou baroques et aux dimensions impressionnantes et on guette toujours le volcan...ah sinon, on apprécie les voitures au gaz...il y a certes beacoup de circulation ( des taxis en pagaille)mais pas de gaz d échappement..

Pacífico




Petite escapade vers l ouest, direction l océan, dans la ville improbable de Mollendo...sur ce bout de côte désertique est installée cette bourgade semi industrielle avec ses cuves petrochimiques, ses lignes de train en friches...qui attire pourtant une foule de gens...et c est ambiance fête foraine...
la plage immnese étaient comble , du moins sous les rangées de parasols...mais malgré le charme tres relatif du lieu, un petit bain dans les rouleaux du Pacifique en plein mois de fevrier, ça ne se refuse pas...et puis du coup, poisson et crustacés au menu , dont le fameux ceviche local! le tout par 27 degrés!

vendredi 24 février 2012

Arequipa, Peru




Eh bien, voilá donc plusieurs jours que je découvre tranquillement la ville , en compagnie d Ivan qui m a rejoint depuis la Bolivie. C est d abord un peu dans le brouillard ( rapport au decalage horaire, aux heures de voyages, et á la meteo )que nous avons arpenté cette belle cité, agréable et facile , et qui n est pas sans rappeler Sucre par son architecture coloniale...par contre cet enseñble urbain est doñiné par plusieurs volcans dont le Misti (encore en activité mais qui a tendance a se planquer derriere les nuages)dont la lave blanche est partout utilisée comme materiau de construction, même si beeaucoup de façades montrent des couleurs chatoyantes...tout est baroque ici dans les edifices, et á l interieur des eglises avec figures de vierges et saints plus torturés et expressifs les uns aue les autres ) tout le monde se signe tout le temps dans la rue en passant car partout des ex voto ou autres motifs de devotion sont presents.Il y a un nombre impresionnants de couvents et ñonasteres des ordres qu ont evangelisé le continent dés les premiers temps d e la conquista: franciscains, dominicains puis jesuites.
On a donc pas mal deambulé de quartier en quartier, de monastere en plazas et puis on a fait plus d une halte au marche qui est toujours un lieu que j affectionne : comme en Bolivie, on y mange des chicharrones (viande de porc frite avec maïs), on y prend un jus de fruit frais, les commerçant m apellent mamita comme a Sucre pour m attirer sur leur stand, et puis les memes couleurs ete odeurs...
Voilá pour le decor ...alors on se fait aussi quelques vsites de petits musées plein de moñies des civilisations pre incas et de tissages anciens, et puis petit barbecue sur laterrasse de notre petit hotel tres sommaire mais avec vue sur le volcan!

mardi 21 février 2012

Arequipar -ci, Arequipar-la

Eh bien, me voici de nouveau outre-Atlantique mais cette fois, au Perou...fort proche de la Bolivie et avec pas mal de différences notables aussi dés l atterrissage apres 12 heures de vol...arrivée a Lima, face au Pacifique ( et la mer, y a pas trop ça en Bolivie...). Sinon, on remarque aussi vite la différence entre Lima et la Paz en terme d étendue, et de constructions...il y a beaucoup plus de grands buildings ici...en même temps, je n ai fait qu y passer sans avoir particulierement envie d y rester , puisque j ai enchaìné sur un voyage en bus tout confort avec hòtesse et repas servis á bord ( y a pas ça non plus en Bolivie...) pendant 15h en longeant l ocean le long de la route panañericaine...en fait, le littoral est tout bonnement desertique, c est assez étrange comme paysage tout est roches claires ou dunes de sable, qui viennent finir en plages immenses ou còtes abruptes battus par les vagues...et quasiment pas àme aui vivie , mème si on voit de ci de là des sortes de cabanes (de pècheurs je suppose) comme posées au milieu de nulle part et puis quelques villes, souvent á l embouchure de fleuves autour desquelles se sont développées des sortes d oasis...on y fait mème pousser du riz...tout ceci ne sont aue des observations depuis les fenètres du bus au matin alors que je m impatientai un peu d arriver á Arequipa, le but de mon voyage...
puis apres une autre traversée du désert ...la ville s est dessinée au loin pour se faire plus précise mème si la grisaille du jour rendait assez confuse l impression générale.